Je trone dans l'azur comme un sphinx incompris;
J'unis un coeur de neige a la blancheur des cygnes;
Je hais le qui deplace les lignes,
Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris.
J'unis un coeur de neige a la blancheur des cygnes;
Je hais le qui deplace les lignes,
Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris.
Baudelaire - Fleurs Du Mal