No More Learning

Autrefois, je ne m’attardais pas dans le bois           qui
l’entourait, car, avant de monter lire, j’entrais dans le petit
cabinet de repos que mon oncle Adolphe, un frère de mon grand-père,
ancien militaire qui avait pris sa retraite comme commandant, occupait
au rez-de-chaussée, et qui, même quand les fenêtres ouvertes
laissaient entrer la chaleur, sinon les rayons du soleil qui
atteignaient rarement jusque-là, dégageait inépuisablement cette odeur
obscure et fraîche, à la fois forestière et ancien régime, qui fait
rêver longuement les narines, quand on pénètre dans certains pavillons
de chasse abandonnés.