Et cependant voila des siecles innombrables
Que vous vous combattez sans pitie ni remord,
Tellement vous aimez le carnage et la mort,
O lutteurs eternels, o freres
Que vous vous combattez sans pitie ni remord,
Tellement vous aimez le carnage et la mort,
O lutteurs eternels, o freres
Baudelaire - Fleurs Du Mal